Pour l’anniversaire du soulèvement du 21 juillet 1952 en Iran, en faveur de Mohammad Mossadegh, leader du Front national iranien, de jeunes insurgés ont pris pour cible 30 centres associés au corps répressif des gardiens de la révolution et au système judiciaire, ainsi que des séminaires religieux du régime dans diverses villes.
Ils ont mis le feu aux bâtiments judiciaires à Qazvine et Ardebil, à la garnison Imam Hossein du Corps des pasdarans à Karadj, à la garnison Salman du Corps des pasdarans à Ahwaz, aux centres des milices du Bassidj à Bouchehr et Ilam, aux bases répressives de la milice à Téhéran, Tabriz, Yazd, Kerman, Semnan, Andimeshk, Dezfoul, Chalousse et Jam (Bouchehr). Des affiches de Khomeiny, Khamenei et Qassem Soleimani ont été brûlées à Téhéran, Qom, Kachan et Chiraz, ainsi que des enseignes de la garnison Imam Hossein à Iranchahr et des bases d’espionnage de la milice du Bassidj et du ministère du Renseignement à Chiraz, Tabbass et Chalouss.
En réaction au martyre d’Ali Mostashari, membre de l’OMPI, de jeunes insurgés ont visé le bureau de l’application des peines de la province de Qazvine et une fondation associée au pillage et à la corruption des mollahs et des gardiens de la révolution à Boukan.
Par ailleurs, en réponse à l’exécution de leurs compatriotes baloutches, de jeunes courageux ont visé une unité de commandement des forces de sécurité à Kerman. Les déflagrations ont retenti dans tout le secteur.
À l’occasion du vingtième anniversaire du martyre de deux femmes héroïques de l’OMPI, Sedigheh Mojaveri et Neda Hassani, de jeunes rebelles ont pris pour cible le bataillon de sécurité dit « Imam Hossein », affilié au corps des pasdarans, dans la ville d’Anzali.