Le sort des résidents d’Achraf dépend de l’issue du combat difficile parce qu’inégal qui oppose les mollahs iraniens et leur exécuteur des basses œuvres, le premier ministre irakien, à une pléiade d’organisations et de personnalités aux moyens d’action limités, qui font passer le respect des droits de l’Homme avant toute autre considération stratégique ou économique, sous le regard indifférent et parfois hostile de ceux qui détiennent effectivement le pouvoir : les dirigeants des grandes nations.

En voici une liste non exhaustive :

En France

La regrettée Danielle Mitterrand, François Colcombet, Jean-Pierre Brard et leurs amis du Comité Français pour un Iran Démocratique, Yves Bonnet, ancien directeur de la DST, Alain Vivien,  Jean-Pierre Michel, sénateur, Jean-Philippe Maurer, député, Pierre Bercis, Président des Nouveaux Droits de l'Homme, Monseigneur Gaillot…

En Europe

Alejo Vidal Quadras, vice-président du parlement européen et ses collègues des Amis d’un Iran libre, Paulo Casaca, Struan Stevenson, Lord Corbet of Castle Vale, président du groupe travailliste à la Chambre des Lords, John Bruton, ancien premier ministre irlandais, Brian Binley, député britannique, L’ancien premier ministre algérien Sid Ahmed Ghozali, l’islamologue Anissa Boumedienne, veuve de l’ancien président algérien, Geir Haarde ancien premier ministre islandais, Carlo Ciccioli, député italien, Jean-Charles Rielle, conseiller national suisse, Christiane Perregaux, co-présidente de l’Assemblée constituante du Conseil de Genève, Pr. Jean Ziegler, vice-président du Comité consultatif des droits de l’homme de l’ONU, Me Nils de Dardel, co-président du Comité suisse pour la défense d’Achraf.

Le parlement européen a adopté plusieurs motions en faveur d’Achraf et a proposé un plan de sortie de crise prévoyant l’accueil des résidents dans différents pays de l’Union.

Récemment, l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, réunie à Paris, a adopté une déclaration appelant les autorités irakiennes à empêcher une catastrophe humanitaire et des violations des droits humains à Achraf.

 

 

 

Aux Etats-Unis

D’anciens haut-responsables américains : Patrick Kennedy, neveu du président assassiné,  Thomas Joseph « Tom » Ridge, ancien secrétaire d’Etat à la sécurité intérieure, Bill Richardson ancien ambassadeur aux Nations-Unies puis secrétaire d’état à l’énergie, Michael Bernard Mukasey ex procureur général des Etats-Unis, Howard Dean qui fut président du parti démocrate et reste un postulant sérieux pour la les prochaines échéances électorales, Rudy Giuliani, maire de New York au moment de l’attentat du 11 septembre, Louis Freeh, ancien directeur du FBI, Ed Rendell, ancien gouverneur de Pennsylvanie, John Sano, ancien directeur adjoint de la CIA, le colonel Wesley Martin, ancien commandant de la lutte contre le terrorisme de la coalition en Irak

En Afrique du Sud

Desmond Tutu, évêque anglican et sa fille Naomi

Dans les pays arabes

La majorité du parlement jordanien dont, Nariman Al-Roussan, député jordanienne

En Irak

94 nationalistes, parlementaires et dignitaires irakiens avec à leur tête le Dr Iyad Allaoui, président de la coalition al-Iraqia, arrivée en tête aux dernières élections, le Dr Saleh Mutlaq, Vice-premier ministre et le Vice-président de la république Tareq al-Hachemi, ont appelé à une issue humaine pour Achraf.

Vaste soutien international pour la défense d'Achraf

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Une télé britannique complice des mollahs

Ne pouvant agir eux-mêmes, les services de renseignement iraniens ont sous-traité à la chaine britannique de télévision Channel 4 News , l’espionnage des membres de l’OMPI rassemblés en Albanie. Le 10 août, une équipe dirigée par Madame Hilsum, rédactrice en…

Une situation inextricable

Le premier ministre irakien Nouri al-Maliki affirme qu’il n’est pour rien dans le massacre commis le 1er septembre à Achraf et l’enlèvement des sept otages. Lors de sa visite aux USA, il l’a dit à Obama qui l’a crû ou…

Une oasis créée par l'homme en plein désert

Plus qu’un camp, une ville. Depuis les premiers mois de l’année 2009, plus personne ne peut entrer à Achraf, exceptés les forces armées irakiennes et les agents du régime iranien. Ceux qui s’y rendirent auparavant, dont une quinzaine d’habitants du…

Un tournant décisif

Le 7 septembre, après 72 jours d’incarcération et de grève de la faim, les 36 otages enlevés le 28 juillet lors de l’attaque de la cité d’Achraf par les forces armées irakiennes, ont été libérés. 72 jours de détention dans…

Un tournant dans l'histoire de la Résistance iranienne: l'évacuation de la cité d'Achraf

Lorsqu’au premier janvier 2009, les Américains cédèrent le contrôle de la cité d’Achraf aux forces armées irakiennes, contre la promesse illusoire que les résidents seraient traités avec humanité, il était prévisible que les hommes de Maliki mettraient tout en œuvre…

Un plan européen pour la survie des résidents d'Achraf

Le président irakien Nouri al-Maliki, le vassal des mollahs, exige que les résidents d’Achraf aient quitté leur base avant la fin de l’année 2011. Depuis que les Américains, reniant les accords écrits passés avec les Moudjahidine en 2003, lui ont…

Un large soutien des femmes irakiennes

Les femmes irakiennes seraient les premières victimes si un régime analogue à celui de l’Iran était instauré dans leur pays. Beaucoup en sont conscientes et militent pour éviter une pareille catastrophe. La délégation française en a rencontré plusieurs, militantes au…

Un harcèlement ininterrompu

La police et les forces armées irakiennes, infiltrées par des éléments de la force terroriste iranienne Qods, multiplient les actes de malveillance envers les résidents d’Achraf et de Liberty, à la grande satisfaction du président de la Commission pour la…

Un grave danger plane sur Achraf

Depuis que les Américains ont cédé, en janvier 2009, le contrôle de la cité d’Ashraf aux forces de sécurité irakiennes, celles-ci lui imposent un véritable blocus, interdisant l’entrée du camp aux familles venues rendre visite à leurs proches. Un groupe…