Dorénavant, Hillary Clinton, la Secrétaire d’état américaine ne pourra plus tergiverser comme elle le fait depuis deux ans en ne se conformant pas à la décision du tribunal de Washington lui demandant de revoir la question de l’inscription de l’OMPI sur la liste noire de son pays.
Un récent jugement de la Cour d’Appel de Washington lui donne quatre mois pour décider si oui ou non elle maintient l’OMPI sur la liste. Si au terme de ce délai aucune décision n’a été prise, le retrait se fera automatiquement.
C’est maintenant à elle de décider. Nul ne peut présumer de son choix. Si elle s’oppose au retrait, il faudra qu’elle le dise clairement et qu’elle s’en explique. Nous y verrons plus clair fin septembre.