Dans le cadre de sa solidarité avec la Résistance et le soulèvement du peuple iranien, le « Comité de solidarité arabo-islamique avec la Résistance iranienne » (CAISIR) a organisé une conférence à Bruxelles le 27 janvier.
Des personnalités éminentes de Jordanie, de Syrie, de Tunisie, d’Algérie, du Yémen, d'Irak, du Soudan, de la Mauritanie et des représentants de renom de la coalition des forces révolutionnaires de l’opposition syrienne ont participé à cette conférence. Les orateurs ont exprimé leur opinion sur le combat héroïque du peuple iranien malgré la répression sévère du régime et discuté de la perspective de renverser et de remplacer la dictature théocratique. Ils ont dénoncé les influences régionales destructrices des mollahs et souligné la nécessité de proscrire les Gardiens de la Révolution du régime en tant qu'entité terroriste. Ils ont également évoqué le rôle prépondérant du principal groupe constitutif du CNRI, l’Organisation des Moudjahidine du Peuple d’Iran (OMPI), qui constitue la force motrice du soulèvement.
Dans son discours à la conférence, Mme Radjavi a souligné que « le soulèvement a persisté au prix d’au moins 750 vies et de l’arrestation et de la torture de 30 000 manifestants. C’est un moment critique non seulement pour l’avenir de l’Iran, mais aussi pour le destin de tout le Moyen-Orient. Il ne fait aucun doute que cela aura également un impact sur le monde. »