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Né à Mauprévoir, dans la Vienne, le 31 octobre 1954, Jean-Michel Clément est diplômé de l’Université de Poitiers et exerce la profession d’avocat. Il est élu député pour la première fois le 17 juin 2007, pour la XIIIe législature (2007-2012), dans la troisième circonscription de la Vienne. Candidat à sa succession en 2012, Jean-Michel Clément est réélu. Il intègre le groupe Liberté et Territoires et devient membre de la commission des Affaires étrangères à l’Assemblée nationale. En mars 2012, Jean-Michel Clément s'associe à l'économiste Pierre Larrouturou ainsi qu'à diverses personnalités comme Stéphane Hessel, Susan George, Edgar Morin ou encore Michel Rocard, en faveur de la création du Collectif Roosevelt. Ce mouvement citoyen vise à influencer les décisions des dirigeants politiques en leur proposant 15 réformes d'ordres financier, économique, social et environnemental.
Membre du Comité Parlementaire pour un Iran démocratique (CPID) qui regroupe des parlementaires français de toutes tendances politiques, Jean-Michel Clément a mis à profit une séance de questions au gouvernement pour interpeller au sujet du projet d’attentat de Villepinte et, plus généralement sur les actes terroristes commis par le régime iranien en Europe le ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian qui, visiblement pris de court éluda la question en parfait diplômate: "Nous avons sanctionné en prenant des sanctions..."
Sur ce sujet, le CPID vient de publier un communiqué mettant l’accent sur les violations persistantes des droits de l’homme en Iran et les actes terroristes du régime iranien en Europe.
Pensant qu’il était temps de reconsidérer en Europe le traitement du terrorisme d’État iranien, le comité a demandé que:
1 la poursuite des relations avec l'Iran soit subordonnée à l’arrêt total d’actions terroristes sur le sol européen,
2 compte tenu de l'utilisation par le régime iranien de la couverture diplomatique pour commettre des actes terroristes, des avertissements soient donnés à Téhéran, lesquels pourraient se traduire par la fermeture de ses ambassades et l'expulsion de ses ambassadeurs et diplomates,
3 conformément à la déclaration de l'Union européenne du 29 avril 1997, les Etats membres de l’UE s’accordent afin que les agents de renseignement de Téhéran, utilisant la couverture de diplomates, de journalistes, d'hommes d'affaires, soient expulsés, et que les institutions religieuses et culturelles du régime en Europe, servant de bases de soutien aux activités terroristes et fondamentalistes, soient fermées.