Le 27 novembre a débuté à Anvers le procès du diplomate-terroriste iranien, Assadollah Assadi, et de ses trois complices impliqués dans le projet d’attentat visant le grand rassemblement annuel de la Résistance iranienne qui s’est tenu à Villepinte en juin 2018. Le procureur a demandé contre Assadi vingt ans de prison, un peu moins pour les deux autres accusés.
A cette occasion, un groupe d’habitants du Val d’Oise, présents au rassemblement, a écrit au Ministre français des Affaires étrangère pour lui demander de ne pas céder aux pressions que ne manquerait d’exercer le pouvoir iranien pour obtenir que son ressortissant soit l’objet d’un échange et ne purge pas sa peine. Au final, qui l’emportera : la justice ou le compromis? Nous ne devrions pas tarder à le savoir.