Le fascisme religieux au pouvoir en Iran a de nouveau refusé aux inspecteurs de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) l’autorisation d’inspecter deux sites soupçonnés d’avoir abrité des activités nucléaires. Ce refus montre une fois de plus que le régime continuera à tromper la communauté internationale dans le but d’obtenir des armes nucléaires.
Le refus du régime de coopérer avec l’AIEA – une violation flagrante de l’accord nucléaire – montre que le régime iranien, bien qu’il bénéficie des avantages de cet accord, n’a jamais renoncé à dissimuler la poursuite de son programme d’armement nucléaire.
En outre, le manque de transparence sur les éventuelles dimensions militaires de ses programmes, le maintien en activité du centre de son programme d’armes nucléaires (l’Organisation de l’innovation et de la recherche défensive – SPND) et de son site secret d’essais (Centre de recherche et d’expansion des technologies sur les explosions et les impacts – METFAZ), constituent non seulement une violation de l’accord nucléaire de juillet 2015, mais aussi une violation flagrante du traité de non-prolifération nucléaire.